26 juin 2008
Un petit-déjeuner aux Arènes de Paris
Commençant tard la journée de travail, à dix heures, je profite d'un temps propice aux haltes dans les jardins et parcs qui ont dans la matinée une douceur toute particulière, les Arènes de Paris étant le point d'orgue, la plus haute antiquité de la ville se mêle aux champs des oiseaux et à une botanique rare.A deux stations de mon travail, le tour est joué. C'est ainsi qu'avec B., nous avons pu nous délecter d'un café accompagné d'une baguette avec des tranches d'andouillettes, sous le patronage de Sainte Geneviève et l'ombre complice de Paulhan qui a habité rue des Arènes de 1940 jusqu'à sa mort en 1968. Une plaque rappelle ce voisinage littéraire.
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