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Lectures paresseuses
26 janvier 2009

De Martin King à Obama: l'imposture "antiraciste" permanente

     A  diffuser sans modération aucune, un grand merci pour cette synthèse:

http://fr.novopress.info/?p=15286#more-15286

Martin Luther King/Obama : leurre et déception

Martin Luther King/Obama : leurre et déception

En choisissant d’honorer le défunt révérend Martin Luther King à l’occasion de son intronisation, Barack Obama ne fait qu’accentuer les zones d’ombre qui entourent l’un comme l’autre. Car malgré l’incroyable propulsion du nouveau président métis sur la scène politique et son indéniable charisme, certaines questions demeurent. Quant au pasteur noir, dès l’origine, sa légende débuta par un faux. Pleins feux sur deux visages d’un « rêve américain» pour le moins frelaté.

Image Hosted by ImageShack.usNé en 1929 et prénommé Michael, King était le fils d’un prêcheur connu sous le nom de « Daddy King ». Ce n’est qu’en 1935 que Martin King eut la soudaine inspiration d’associer à son propre prénom Luther, en référence au réformateur protestant Martin Luther. Il demanda donc à sa congrégation non seulement de l’avaliser désormais comme tel, mais d’en faire autant pour son fils qu’il surnomma dès lors « Martin Luther King Junior ». Cette petite fantaisie ne fut d’ailleurs jamais légalisée et le nom réel du leader noir assassiné demeure Michael King.

  Un mythe américain peu reluisant

Comme chacun le sait, les légendes sont tenaces, mais il fallait compter avec certains historiens américains bien décidés à prouver que le pasteur noir, grand défenseur des droits civiques, n’était en fait qu’un fraudeur. L’accusant « d’avoir lourdement plagié sa thèse, sa dissertation doctrinale et nombre de ses sermons », ils démontrèrent ainsi qu’on ne peut toujours impunément abuser d’autrui. King rêvait d’une carrière politique et peu lui importait par quels moyens il y parviendrait, sachant que ses capacités intellectuelles n’étaient pas à la hauteur de ses ambitions.

Dans son Journal of American History (juin 1991), David J.Garrow, académicien gauchiste et sympathisant de King, rapporte que Coretta Scott King ( sa défunte épouse défunte) qui lui servait de secrétaire, « avait été complice de ses tricheries répétées». A ceux qui s’étonnent encore de l’apparente indulgence de ses professeurs, le chercheur Michael Hoffman répond non sans ironie : « King était politiquement correct, noir et ambitieux. C’était, pour ces gauchistes, une joie d’accorder un doctorat à un tel candidat et cela n’est pas plus choquant qu’il ait fallu quarante ans pour que soit divulguée cette piraterie intellectuelle ».

Le 10 octobre 1991, on pouvait lire en page 12 du New York Times qu’un comité de chercheurs de l’Université de Boston admettait « qu’il ne faisait aucun doute que le docteur King avait plagié sa dissertation mais qu’il ne rimait à rien désormais de le déchoir de son titre… »

Vraiment ? Etait-il donc de même sans importance que le fameux « I have a dream », tant de fois évoqué, repris avec émotion - même sur nos radios – eût été lui aussi usurpé par King, après son extraction d’un sermon que prononça en 1950, le prêcheur noir Archibald Carey ?

Hélas, les frasques du pseudo-martyr ne s’arrêtèrent pas là…

« J’ai connu Martin Luther King Jr. comme étant très proche du Parti communiste… »

De 1955 à 1967, l’un de ses plus proches conseillers fut le Noir Bayard Rustin, membre du Parti communiste américain (USCP) qui fera deux ans de prison en 1944 puis deux mois en 1953 pour « perversion homosexuelle » (sic).

En 1979, l’un de ses proches associés, Evans-Raymond Pierre, devait déclarer devant le Senate Judicial Committee : « Lorsque j’étais affilié au Parti communiste, en fidèle Américain noir [as a loyal American Negro], j’ai connu Martin .Luther King Jr comme étant très proche du Parti communiste… »

A des années lumière des préceptes évangélistes qu’il aimait à prêcher, ses activités et fréquentations louches allaient écailler son aura et titiller la curiosité du FBI, dont l’un des chefs était alors un certain William C. Sullivan, qui se qualifiait lui-même de « libéral »et avouait « avoir une certaine sympathie pour King, qu’il voyait comme parfait leader des Noirs en quête de droits civiques ».      

C’est en ressérant son filet sur Stanley Levison, lui aussi communiste notoire, que Sullivan dut bientôt déchanter, divulguant du même coup, la vraie nature de King. Il découvrit en effet que le charismatique prêcheur, si vénéré pour sa droiture, détournait sans vergogne de fortes sommes d’argent initialementdestinées à la communauté noire pour laquelle il prétendait lutter, les utilisant de surcroît, à des fins peu honorables…

« Bien qu’ayant vu pendant 30 ans, dira Sullivan à l’époque, le côté peu reluisant de la vie, je peux dire que King est l’une des rares personnes complètement dégénérées que j’ai rencontrées. Pratiquant l’adultère d’une manière compulsive, il s’est aliéné l’affection de nombreuses femmes mariées et en a séduit d’autres de son entourage (qui l’ont avoué publiquement, faisant aussi conduire à son hôtel nombre de prostituées, souvent deux à la fois, pour des parties qui pouvaient durer plusieurs jours… Ce genre d’activités était la norme au cours de ses tournées… King passa d’ailleurs la dernière nuit précédant sa mort, en compagnie de deux prostituées blanches et d’une autre, battue et abusée, dans une chambres du motel Lorraine, à Memphis (Tennessee) ».

Un parcours hors du commun, comme on peut le voir, récompensé en 1964, par un prix Nobel de la paix puis, plus tard, par un jour férié à son nom, honneur dont n’est gratifié aujourd’hui, aucun des présidents états-uniens. Suite à cela, qui peut honnêtement parler de discrimination raciale ?

Les zones d’ombre du nouveau Président

Tel est l’homme à qui Obama a tenu à rendre hommage, alors qu’il ne lui devait aucune reconnaissance particulière, ayant dès son plus jeune âge fait partie des privilégiés, fréquentant les meilleures écoles et voyageant beaucoup. S’agirait-il tout simplement d’une certaine admiration pour le personnage tant sont apparentes certaines zones d’ombre dans sa propre ascention ? Qu’on en juge :

- Le certificat de naissance du nouveau président est toujours sous la garde du gouverneur d’Hawaï, suite à des revendications, en particulier celles formulées par Philip J Berg qui l’accuse d’avoir menti quant à son lieu de naissance et l’identité de son père biologique. L’affaire est apparemment toujours pendante et, en mourant, sa grand-mère a emporté ce secret dans la tombe.

- Demeurent sous scellés, ses rapports et transcriptions de l’Occidental College - où il débuta sa carrière - de même que ceux d’Harvard et de Columbia.

- Sous scellés également, sans avoir jamais été rendue publique, la liste de ses clients dans la société de conseil juridique pour laquelle Obama a travaillé.

Dans lun ouvrage qu’il lui a consacré, Webster Tarpley* a ces mots très durs pour Obama, en sa qualité d’organisateur communautaire à l’Annenberg Foundation : « Un cynique opportuniste faisant usage de la souffrance d’autrui comme moyen  politique. La stratégie de [cette] société est de diviser et conquérir, opposant les Noirs aux Blancs, aux Hispaniques et aux Asiatiques afin d’empêcher tout challenge à Wall Street ».

Si dans son propre livre, Dreams of my father, Obama se laisse aisément aller à la confidence et confesse entre autre ses errances de jeunesse avec une surprenante liberté, il reste néanmoins muet sur la période 1981, 1982 et1983, au prestigieux collège de l’Université de Columbia, sur les hauteurs de Manhattan. Tarpley avance à cela deux raisons plausibles.

« Un cynique opportuniste faisant usage de la souffrance d’autrui comme moyen politique »

La première cacherait l’homosexualité d’Obama, dévoilée publiquement par Larry Sinclair alors qu’ils auraient eu plusieurs rencontres agrémentées de crack et de cocaïne.

La deuxième, plus percutante, occulterait ses contacts avec Zbigniew Brzezinski, dirigeant à Columbia l’Institute of Communist Affairs, spécialisé dans la lutte anti-soviétique (Brzezinski ayant une aversion quasi fanatique envers la Russie). C’est là qu’il aurait recruté Obama, dont la thèse – divine coïncidence – devait porter sur le « désarmement nucléaire soviétique ». Nous voici donc en présence de 25 années d’endoctrinement et d’apprentissage dans les rouages de la Trilatérale, du Groupe Bilderberg, du Council on Foreign Relations (CFR) - un think tank américain, ayant pour but d’analyser la situation politique mondiale et de conseiller le gouvernement des États-Unis en matière de politique étrangère - et de la Fondation Ford, laquelle employa – autre coïncidence - la propre mère d’Obama… Rappelons que Brzezinski a servi dans plusieurs administrations, dont celle de Carter et des Bush. Il est en outre co-fondateur de la Trilatéral Commission chère à David Rockefeller et a collaboré au conseil d’administration du CFR.

  Autre « bienfaiteur » d’Obama, le financier milliardaire George Soros…

Autre « bienfaiteur »  d’Obama, le financier milliardaire George Soros, président de Soros Fund Management et de l’Open Society Institute, qui « soutient » Obama depuis 2004, faisant aujourd’hui ce que fit le banquier new-yorkais Jacob Schiff lors de la révolution bolchévique de 1917. Aux côtés de Soros, se trouve le richissime Warren Buffett, Robert Wolf (de la banque internationale UBS, basée en Suisse) ou encore Paul Volcker (de la Federal Reserve Bank et listé comme président à titre honorifique de la Trilatérale). Parmi les sponsors de la campagne présidentielle d’Obama, arrivent en tête les banques de Wall Street : Salomon, les frères Lazard, Goldman Sachs et Lehman Brothers, aujourd’hui sur la paille. L’épouse d’Obama, Michelle, est un élément majeur dans la vie politique du nouveau président. Selon son site Internet, elle fait partie du conseil d’administration du Chicago Council of Global Affairs, affilié à la branche du CFR de Chicago. Quant au principal conseiller économique d’Obama, présumé seconder Paul Volcker, il est sénateur et se nomme Austan Goolsbee. A 39 ans, ce professeur d’économie à l’université de Chicago est aussi triathlète et membre - de même que Bush père et fils, John Kerry et bien d’autres, du Skull and bones (littéralement Crâne et os), une société secrète créé en 1832 à l’université Yale et regroupant le gratin des décideurs politiques et économiques américains.

Que du beau monde, comme on le constate, pour ranimer l’espoir et aider Obama, « sauveur, homme du peuple, messie du changement », Oprah Winfrey dixit ; autant de qualificatifs qui sonnent creux dès lors qu’on va au-delà des apparences.

« Une administration Obama [serait] au mieux favorable à un sacrifice économique brutal, une austérité au bénéfice de Wall Street et une confrontation impérialiste avec la Russie et la Chine. Obama est la recette pour une tragédie mondiale.» prédit Webster Tarpley.

I have a dream…

Michelle Favard-Jirard pour Novopress France

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Commentaires
H
Merci beaucoup d'avoir pris le temps de rédiger cette article, ce n'est assurément pas le genre d'infos qu'on peut avoir l'occasion de retrouver dans les médias, heureusement qu'il existe encore une poignée de gens ne se laissant pas endoctriner par ces pervers.
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