Gavalda enfin !

    J'ai succombé à son charme avec Ensemble, c'est tout, ces deux premiers m'avaient laissés sur ma fin, là j'ai été emporté; la maestria des dialogues, leur impression de naturel si difficile à transcrire en mots écrits, des centaines de pages que l'on s'empare que si nous étions nous-même au coeur de ce tourbillon de vie, partie prenante de ces bribes de vies.
J'ai commencé La Consolante hier soir en prenant le train du retour après avoir cédé au démon de la nouveauté tandis que j'avançais dans les Trois Mousquetaires pour être déstabilisé, dans l'expectative, le ton est plus acide, heurté, l'intrigue plus fragmentée tout en appréciant cette déstabilisation, cette manière de me faire embarquer ailleurs que sur des autoroutes. Je fixe ma ceinture, je poursuis la lecture...encore 400 pages pour trancher.