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Lectures paresseuses
13 octobre 2008

Le Clézio, ou le refus de l'enracinement

   Les Prix Nobel se suivent ...et se ressemblent, leur intérêt est d'effectuer un grossissement, une sacralisation d'une conception du monde; le prix attribué à l'écrivain  Le Clezio, témoigne de l'obsession "antiraciste", et son impératif catégorique de "métissage". La préservation de notre identité est ainsi disqualifié moralement, le déviant devient alors hors-humanité pour qui la "tolérance" n'a plus lieu d'être. On comprend pourquoi aucun journaliste en vue ne pourra jamais attaquer Le Clézio sur l'outrance de son cosmopolitisme, soulever la question marquerait déjà un signe de culpabilité.

1_jmg_le_clezio_9"En fait, les cultures sont toutes métisses, mélangées, y compris l'occidentale, faite de nombreux éléments venant d'Afrique, d'Asie. On ne peut pas faire barrage au métissage. Et la modernité est aussi bien japonaise, coréenne, chinoise européenne ou américaine."

http://www.lexpress.fr/culture/livre/jmg-le-clezio-on-ne-peut-pas-faire-barrage-au-metissage_587614.html

«J'ai longtemps rêvé que ma mère était noire", "L'Africain", quatrième de couverture, Mercure, 2008

« Ritournelle de la faim » est le livre de la culpabilité française.http://www.lepoint.fr/actualites-litterature/le-livre-de-la-culpabilite-francaise/1038/0/277126

On préférera de beaucoup l'enseignement de Jean-Paul II, évidemment continué par Benoit XVI lors de son passage à Paris sur la nécessaire préservation de l'identité nationale:

” La patrie, notre famille

“Le développement du concept de “patrie” est étroitement lié à celui du concept de “famille” et, en un sens, chacun en fonction de la nature de l’autre. Et vous, peu à peu, en faisant l’expérience de ces liens sociaux plus larges que les liens familiaux, vous commencez aussi à participer à la responsabilité du bien commun de cette famille plus vaste qu’est la “patrie” terrestre de chacun et de chacune d’entre vous. Les grandes figures de l’histoire, passée ou contemporaine, d’une nation sont aussi les guides de votre jeunesse et elles favorisent le développement de cet amour social qu’on appelle le plus souvent “amour de la patrie”".

(Jean-Paul II, Lettre apostolique à l’occasion de l’année internationale de la jeunesse, 31 mai 1985.)

 

 

 


 

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