27 mai 2009
En sortant de la gare d'Austerlitz avec Antoine Blondin
"Sous des dehors assez minables, la gare d'Austerlitz vous offre au débotté un grand pan du jardin des Plantes, le métro aérien, les berges de la Seine, hérissées encore d'un taillis de grues picorantes. La pierre, l'eau, le métal et cette verdure, discret rappel, contribuèrent à mon enchantement."
p.290, "Arts 1952-1966 La culture de la provocation", Tallandier, 2009, reprise de l'article d'Antoine Blondin "Pâques dans Paris déserté", 13 avril 1955
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